Cette réalisation avait été faite pour habiller l’espace de publicité qui était sur la façade.
Les tags avaient commencé à la défigurer, la rénovation du quartier a fait le reste, elle a été entièrement supprimée. Dommage sur le principe car avec un peu de rénovation elle aurait été parfaite. Cette construction d’un temple, avec ses nombreux personnages donnait un certain cachet à la façade. Personnellement j’aurai fait enlever les panneaux de publicité… Mais la fresque était là car le publicitaire l’avait payé… Le serpent se mord la queue en somme.
Lionel Gripon et Alain Sangouard - Déc
2003
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