Cette expression s’applique parfaitement à ce personnage, cet immense jeune homme aux cheveux blonds, qui semble être littéralement gravé dans la façade. L’illusion des contours est parfaite, même de prêt, et l’on a vraiment l’impression, non pas d’une peinture murale mais d’une sculpture.
A la base de gros rochers agrémentent la fresque, sur l’un d’entre eux se trouve le signe de la paix.
Juste au dessus, des chevaux sauvages courent librement dans la plaine. En haut un oiseaux vole en tout liberté également. Le jeune homme voudrait bien qu’il se pose sur son doigt, ou alors part-il depuis son doigt ??. Une fresque toute dédié à la liberté corporelle, il faut dire qu’elle se trouve sur un gymnase sportif.
Lionel Gripon et Alain Sangouard - Déc
2003
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