Je suppose que cela ne doit pas être facile de peindre quand on a le modèle dans le dos.
Pourtant l’artiste l’a fait de très belle façon.
Il faudrait presque écarter les branches, les vraies, pour apercevoir les arbres peints sur le pignon de l’immeuble. Tous les arbres sont verts, bien sûr, serait-on tenté de dire. Mais combien, sur cette peinture, y a-t-il de variétés d’arbres et de verts ? C’est impossible à dénombrer, seule la nature pouvait faire aussi bien. Jusque là.
Et puis ces teintes vertes et bleues qui s’épousent parfaitement avec la lumière donnent un air surréaliste à l’ensemble du tableau.
Car, il s’agit bien là d’un véritable tableau, dans le musée de la rue. Bravo, l’artiste.
Lionel Gripon et Alain Sangouard - Déc
2003
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