Sur une plaque, les artistes (stagiaires au LEC) ont écrit : «Nous avons fait cette fresque pour que ce soit plus beau dans le quartier.
Nous avons voulu dire :
- Que les hommes sont frères, c’est pour cela qu’en haut il y a un homme blanc, une femme jaune et un homme noir.
- Qu’on soit homme, femme, jeune ou vieux, né en France ou dans un autre pays, on peut apprendre, travailler, communiquer ensemble. C’est ce que vous verrez au centre de l’image.
- La femme aux bras levés est là pour exprimer, quoi qu’il arrive, la joie de vivre.
- Les gens qui marchent montrent que même quand ce n’est pas facile, il est possible d’avancer.
Un texte qui laisse apercevoir les vrais mots, les vraies phrases que les jeunes ont utilisés pour décrire leur fresque. Un vrai message de fraternité dans un quartier d’Angers qui est maintenant très cosmopolite, au cœur une cité d’immeubles.
« Le vent se lève, il faut tenter de vivre », cette phrase de Paul Valéry se trouve sur cette façade car il s’agit d’un immeuble qui a longtemps servi de logement de fonction aux instituteurs de l’Ecole Paul Valery qui jouxte le bâtiment.
Localisation : Rue de la Garelle, Angers (Dépt 49 – Maine et Loire)
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Intérêt : 2/5
Date : mai 1993
Réalisation : Les stagiaires au LEC
Lionel Gripon et Alain Sangouard - Déc
2003
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